Essai routier Subaru XV – Essai routier
Essai routier

Essai routier Subaru XV – Essai routier

Subaru XV - Essai routier

Pagella

C"Ravitaillement en gaz de pétrole liquéfié le véhicule utilitaire sport de la société japonaise réduit les coûts d'exploitation sans abandonner briller.

Le cadre est dur, mais il y a tenue de route gagne en pouvant compter sur quatre roues motrices

Il y a des marques qui peuvent être reconnues en un coup d'œil même par ceux qui ne sont pas passionnés par le secteur.

Parmi eux, curieusement, il y a Subaru.

Chez les constructeurs japonais, Casa delle Pleiadi (la marque constellation) s'est taillé une place de choix grâce à ses deux caractéristiques techniques : la transmission intégrale permanente et un moteur boxer 4 cylindres.

Mais le troisième élément distinctif ne doit pas être négligé : l'offre de modèles GPL.

Subaru a une grande expérience des carburants gaz, acquise alors qu'elle n'avait pas encore de moteurs diesel et a dû faire face à la concurrence européenne avec des solutions alternatives, notamment sur les marchés italien et français, qui ont toujours été attentifs au coût d'utilisation des voitures.

Ainsi, après de nombreuses années de coopération avec divers fabricants de systèmes, depuis 2001, la société japonaise a toujours proposé une option gaz pour ses modèles.

Il travaille maintenant depuis 48 mois chez BRC, l'une des entreprises leaders de l'industrie.

Il Subaru XV Le GPL ne pouvait pas manquer.

moteur

Nous avons testé une version plus puissante avec un moteur deux litres de 147 ch. (il y a quand même 1.6 110 ch), ce qui est le mieux pour ce type de voiture, n'est pas léger et avec 4×4 à absorption de poussée constante (symétrique).

Le moteur réagit bien à la fois lors de l'utilisation de l'essence et lors du passage à l'essence.

Les plus grandes différences de performances sont ressenties lors de la récupération, lorsque les rapports de démultiplication supérieurs sont importants et que le GPL raccourcit le temps.

En ville, sur le mixte et sur l'autoroute Subaru XV il est toujours maniable et toujours à son meilleur : le rétrogradage n'est recommandé que pour les dépassements les plus difficiles.

Ce qui me plaît quand on roule à l'essence, c'est la régularité de la réaction : la voiture à froid ou sous forte charge (sixième récupération de puissance à partir de bas régimes) ne casse pas ou ne "hache" pas (problèmes typiques d'essence).

On oublie donc vite qu'il s'agit d'un bicarburant.

Le ravitaillement est également simple : le goulot de remplissage est intégré dans la trappe à carburant.

Consommation et autonomie

Si les performances peuvent être qualifiées de brillantes, la discussion sur la consommation mérite une analyse plus approfondie : en ville elle dépasse légèrement les 10 km/l, tandis qu'en banlieue elle varie de 11,5 à 12,8 km/l, selon l'utilisation de l'accélérateur. ...

A l'essence, vous roulez encore quelques kilomètres, atteignant 14,5 km/l.

Sur l'essence, l'autonomie va de 350 à 500 km : pas mal pour une voiture avec un réservoir toroïdal de 48 litres (80 % de sa capacité).

Le poids du cylindre n'affecte pas le comportement routier : Subaru XV c'est sûr, agile et amusant.

руководство

La transmission intégrale offre une couche de sécurité supplémentaire lorsque la surface devient glissante ou que vous quittez le tarmac pour vous immerger dans la nature.

Sur les irrégularités, la suspension est très raide et parfois quelques chocs tremblent : sur les chemins de terre, où le débattement des roues est faible, mieux vaut ne pas en faire trop à une vitesse.

Un aspect moins convaincant est la boîte de vitesses avec des éléments légèrement contrastés.

Il faut s'habituer à sa "solidité".

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